La maison de parfums de luxe Byredo a confié à FaiveleyTech la réalisation du capot de sa nouvelle fragrance : Mojave Ghost Absolu de Parfum. La pièce, fabriquée en matériau biocomposite Sulapac, combine une esthétique sensorielle affirmée et une diminution de l’impact environnemental du produit.

Texture « bois ancien »

Les équipes de la BU Beauté de FaiveleyTech ont relevé le défi imaginé par les créateurs de la maison Byredo : un capot reproduisant les effets visuels et texturés du bois brûlé japonais, en accord avec la composition olfactive.

Le choix du matériau s’est porté sur un biocomposite formulé par Sulapac afin pour réduire l’utilisation de matières fossiles et diminuer l’empreinte carbone du packaging.

La texture de bois brut et ancien a été spécifiquement développée pour ce projet. « Elle est la combinaison d’une gravure recherchée dans l’outillage et d’une grande maîtrise de l’injection », explique FaiveleyTech dans un communiqué.

Le capot et ses composants magnétiques sont assemblés sur une ligne complètement automatisée, permettant un positionnement sur le flacon par aimantation.

« FaiveleyTech est fier de cette nouvelle réalisation exclusive pour Byredo. Les équipes portaient un projet audacieux et original, qui connote l’artisanat et la nature, dont nous nous inspirons. C’est avec une belle énergie que les limites de nos process ont été poussées toujours plus loin et le résultat, dans la fragrance comme dans le packaging, met en valeur la signature originale de la marque », souligne Beryl Tomaschett, Directrice Commerciale FaiveleyTech Orgelet.

FaiveleyTech a largement investi dans la maitrise de l’injection des matériaux biocomposites Sulapac pour répondre au besoin des marques de luxe de combiner esthétique et durabilité. Outre cet effet bois ancien, spécifiquement créé pour Byredo, FaiveleyTech et Sulapac proposent différentes nuances et grades de matériaux, pour de multiples applications fonctionnelles. L’entreprise a ainsi récemment présenté un capot à effet marbré également réalisé à l’aide d’un biocomposite Sulapac.